C’est par un titre un brin provocateur que la CFTC voudrait vous conter l’histoire, aussi courte que grotesque d’un deni ordinaire de démocratie. Il était une fois un syndicat parvenu à tripler ses voix entre deux élections, à obtenir un poste de délégué du personnel dans le collège « cadres », à se hisser second, sur 7, dans le collège des « employés ».
Abasourdis par une épopée, que certains avaient pourtant transformée, de façon certes prématurée, en « chronique d’une mort annoncée », nos démosthènes d’opérette n’ont pas tardé à entonner leurs louanges à la gloire de la CFTC.
Il est vrai qu’il ne lui manquait, finalement, que sept petites voix pour conserver sa représentativité chez les salariés…quel dommage pensaient-ils dans un profond soulagement, on les « aimait pourtant bien ces petits… »
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