C’est en ces termes que le nouveau Directeur Général, fraîchement nommé, envisageait, avec le symbolisme dont il a le secret, son indépendance vis à vis de l’exécutif.
Quelques mois plus tard, force est de constater qu’en plus de ses talents de brancardier et de pompier, il doit aussi, sur pression de l’exécutif, assumer le rôle de chirurgien en opérant des interventions précises et répétées, soit pour panser les actions avant qu’elles ne s’infectent (cf Dexia), soit encore pour cautériser le financement des PME.
Il a même, cette fois-ci, sur injonction de l’exécutif, porté le coup de scalpel définitif en s’opposant à toute attribution de parachute doré au patron débarqué de Dexia!
Tantôt « bon samaritain », tantôt « apprenti gendarme », notre Directeur général est de toutes les (bonnes) causes!…
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